L'histoire cachée derrière le Hamilton 68 Dashboard: la vérité sur l'étiquetage des comptes Twitter

L'Alliance for Securing Democracy, une organisation prétendant lutter contre les ingérences étrangères dans les institutions démocratiques, a été pointée du doigt pour avoir faussement associé des comptes américains à une ingérence russe sur le réseau social Twitter. Le journaliste Matt Taibbi qualifie cet étiquetage de discussions menées par des comptes conservateurs anglo-saxons de "bots" comme une "escroquerie médiatique d'ampleur". Découvrez dans cet article l'histoire cachée derrière cette controverse médiatique.

L'histoire cachée derrière le Hamilton 68 Dashboard: la vérité sur l'étiquetage des comptes Twitter

Dans un nouvel épisode de la saga des révélations sur Twitter, un journaliste a révélé que l'Alliance for Securing Democracy, un cercle de réflexion qui regroupe des anciens membres du renseignement et des personnalités opposées à Donald Trump, a faussement identifié des comptes américains comme étant une ingérence russe.

Fondée en 2017, l'Alliance for Securing Democracy se présente comme une initiative non-partisane visant à lutter contre les efforts des autocraties pour miner les institutions démocratiques, en particulier ceux de la Russie. Le journaliste Matt Taibbi a qualifié l'étiquetage de comptes conservateurs américains comme étant des "bots" russes par l'Alliance comme étant une "escroquerie médiatique d'ampleur".

Clint Watts, ancien agent du FBI, a mis au point un outil appelé "Hamilton 68 Dashboard" destiné à suivre les activités de propagande et de désinformation de la Russie, de la Chine et de l'Iran sur les réseaux sociaux. Les données de ce tableau de bord ont été utilisées pour étayer l'histoire d'une ingérence russe dans la vie politique américaine.

En conclusion, ces révélations montrent que l'étiquetage de comptes américains comme étant des "bots" russes par l'Alliance for Securing Democracy peut être considéré comme une "escroquerie médiatique d'ampleur". Il est important de rester vigilant quant aux sources utilisées pour déterminer l'origine de la désinformation sur les réseaux sociaux.